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Proposition de résolution | Doc. 13283 | 08 juillet 2013

La mobilité des étudiants

Signataires : M. Christian BARILARO, Monaco, ADLE ; M. Volodymyr ARIEV, Ukraine, PPE/DC ; M. Josep Anton BARDINA PAU, Andorre, ADLE ; Mme Tinatin BOKUCHAVA, Géorgie, PPE/DC ; Mme Anne BRASSEUR, Luxembourg, ADLE ; M. Tor BREMER, Norvège, SOC ; M. Paolo CORSINI, Italie, SOC ; M. Carlos COSTA NEVES, Portugal, PPE/DC ; Mme Ismeta DERVOZ, Bosnie-Herzégovine, PPE/DC ; M. Gvozden Srećko FLEGO, Croatie, SOC ; Sir Roger GALE, Royaume-Uni, GDE ; Mme Vesna MARJANOVIĆ, Serbie, SOC ; Mme Carina OHLSSON, Suède, SOC ; Mme Lesia OROBETS, Ukraine, PPE/DC ; M. René ROUQUET, France, SOC ; M. Aleksandrs SAKOVSKIS, Lettonie, SOC ; M. Aleksandar SPASENOVSKI, ''L'ex-République yougoslave de Macédoine'', PPE/DC ; Mme Chiora TAKTAKISHVILI, Géorgie, ADLE ; M. Tuğrul TÜRKEŞ, Turquie, GDE ; M. Ahmet Kutalmiş TÜRKEŞ, Turquie, GDE

Cette proposition n'a pas été examinée par l'Assemblée et n'engage que ses signataires.

La mobilité des jeunes, y compris celle des étudiants, constitue l’un des principaux objectifs du Processus de Bologne, et contribue de façon essentielle à la compréhension interculturelle. Les compétences interculturelles deviennent de plus en plus importantes dans les économies mondialisées et les sociétés multiculturelles d’Europe. Les séjours à l’étranger, les échanges et formations interculturels et la participation à des activités de jeunesse internationales permettent aux jeunes de mener une réflexion sur leur bagage culturel et de mesurer pleinement la diversité de l’Europe, tout en apprenant à coopérer avec des personnes issues de milieux culturels différents et en améliorant leurs compétences linguistiques.

L’Assemblée devrait étudier les mesures favorisant la mobilité et les échanges d’étudiants, notamment celles à mettre en place pour réduire davantage les obstacles administratifs à la mobilité internationale – par exemple, ceux qui empêchent l’obtention de visas, d’une couverture sociale et de permis de séjour/travail. Les Etats membres pourraient assurer, au terme d’un programme de mobilité, une réelle reconnaissance des qualifications acquises à l’étranger. Enfin, la mobilité des étudiants peut être augmentée grâce un financement adéquat et l’accès à ce financement par le biais de programmes de mobilité à l’échelle européenne.